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29 février 2012 3 29 /02 /février /2012 22:59

Silicium et médecine quantique.

 

Les lois de la physique Newtonienne ne s'appliquent pas à l'atome. L'infiniment petit et les particules répondent à des lois et phénomènes groupés sous le vocable de physique quantique, nom donné par son concepteur Max Planck.

Ces lois aux effets paradoxaux et déroutants sont souvent partiellement contredites par les découvertes successives y compris la célèbre théorie de la relativité.

Tous les atomes et donc tout objet ou être animé de l'univers y sont soumis.

Dans le monde quantique, la dualité matière/énergie n'existe pas. L'atome est constitué à 99,999% de vide. L'électron est porteur d'informations et semble avoir un comportement doué d'intelligence. Ce que nous appelons le vide est le siège d'une énergie phénoménale, de champs électromagnétiques et de particules en mouvement, donc de vibrations. Ce que le génial Nicolas Tesla avait su exploiter est désormais connu de tous les physiciens par le biais de l'effet Casimir.

Par nos récepteurs nous en percevons une partie que nous transformons en protéines, matière et sensations.

Le silicium a un rôle indispensable en biologie. Il a été nécessaire à la création de la vie sur Terre. La prêle présente sur Terre depuis 250 millions d'années ne peut vivre sans silicium. Chez les mammifères sa baisse est corrélée au vieillissement et à l'apparition de pathologies. Il a la capacité de se transmuter en calcium (Kervan) ou en azote dans les mitochondries (Jeanne Rousseau). Si son rôle indispensable se vérifie constamment son mécanisme d'action n'est pas connu en biologie « orthodoxe ». Par contre son rôle est parfaitement limpide en physique et médecine quantique: dans ce monde fait de particules et de vibrations, le silicium sert de capteur et de transmetteur comme il le fait dans le domaine de la communication (quartz des anciens talkie-walkie, micropuces des ordinateurs). Cela avait été pressenti par Pasteur qui est un des découvreurs de l'effet rotatoire des substances chimiques sur la lumière, affirmé par Rudolf Steiner qui disait que le silicium captait les ondes venues de Jupiter, Saturne et Neptune et réaffirmé par le Professeur Rocard, éminent physicien nucléaire, qui expliquait qu'il jouait dans les systèmes biologiques le même rôle que dans les ordinateurs: « il capte l'information et la retransmet aux bonnes fréquences, aux systèmes biologiques qui l'utilisent selon leurs besoins ». Il ajoutait que sans silicium la Terre serait une planète inerte et muette.

Les progrès techniques réalisés depuis, capables de mesurer des émissions de photons et des courants électriques très faibles, confirment ses propos. Deux effets doivent être soulignés car nécessaires à la compréhension des mécanismes.

  • La supraconductivité où un courant électrique est transmis sans résistance et sans déperdition; l'ADN possède cette propriété.
  • L'effet Bose-Einstein dans lequel tous les atomes deviennent cohérents et se conduisent comme un seul atome ce qui a un effet démultiplicateur et amplificateur. Herbert Fröhlich, prix Nobel, a montré que ces effets se rencontrent dans certaines parties des parois cellulaires. Les cellules du cerveau présentent cette propriété et celui-ci serait donc un gigantesque condensateur de type Bose-Einstein.

Ces deux phénomènes se constatent à très basse température mais ont été découverts dans les systèmes biologiques cités à température ambiante compatible avec la  vie.

Ainsi des intensités infimes peuvent aboutir à des effets importants: Fröhlich a montré que la différence de potentiel des membranes induisait un champ de 100 000V/cm ce qui est considérable.

 

L'ADN se présente comme une antenne qui capte certains champs magnétiques et photons et les retransmettrait au centriole qui serait le vrai organe de commande de la cellule. Des émissions de photons par l'ADN ont été mises en évidence. André Bourrée qui a étudié tous les travaux et communications sur le centriole est arrivé à la conclusion que la division cellulaire était commandée non pas par le noyau mais par le centriole lorsque son niveau d'énergie atteint un certain seuil.

Ces deux éléments, ADN et centriole, ont une très grande affinité pour le silicium.

 

 

L'ADN.

L'ADN contient toujours du silicium (Kirschvink et Gould); le silicium est utilisé pour l'extraction de l'ADN dans la fabrication des puces à ADN. Jacqueline Bousquet explique que l'ADN a une forme de solénoïde d'où transformation des champs en électricité et inversement mais ceci n'a pas encore été démontré. Par contre Gariaev de l'institut de phsyique de l'Académie des Sciences de l'URSS a montré que l'ADN possède la capacité de produire un champ perçu par un autre ADN dans le corps. Andrea Dotto, inventeur d'une machine aux effets thérapeutiques surprenants après application de chocs thermiques à l'ADN, avait remarqué que l'ADN après la quarantaine présentait des spires plus serrées; le fait passé inaperçu, est d'importance capitale car l'intensité des champs et courants électriques en dépend. La déperdition en silicium devient sensible à partir de la quarantaine ce qui évoque le rôle du silicium dans le maintient de la structure d'ADN.

 

Le centriole.

Le centriole est constitué de silicium; selon Moskovakis cité par Michel Dogna, le centriole est constitué par un noyau de silicium entouré de 38000 molécules d'eau en vibration. Il s'agit là d'un mécanisme de transmission de l'information. Schrödinger, prix Nobel en 1933, avait décrit la mémoire de l'eau avant que Benveniste ne reprenne ce concept qu'a parfaitement illustré en le photographiant Mazaru Emoto.

Le centriole capte les émissions lumineuses: ces émissions par les cellules et leurs effets biologiques ont été objectivés par plusieurs auteurs parmi lesquels Gurwitz, Popp, et plus récemment Albrecht Bueheler: il a montré que l'organite de la cellule qui capte ces rayons est le centriole.

Par la présence de silicium, le centriole est capable d'effet piezzo électrique. Selon les recherches d'André Bourée il est au contact des noyaux cellulaires (Kalnins, Bornens), donc de l'ADN et au sein de l'appareil de Golgi où cet effet piezzo électrique pourrait expliquer la formation de l'ARN messager. Le prix Nobel Szent-Györgyi, découvreur de la vitamine C, a montré que l'ADN recevait des impulsions du corps de la cellule.

Lors de la division cellulaire, à la phase S, où le centriole crée le fuseau cellulaire, la cellule capte une grande quantité de silicium.

André Bourrée a retrouvé des travaux qui montrent que lorsque des atomes de silicium sont arrachés au centriole il s'ensuit de graves anomalies du fonctionnement cellulaire.

 

Ainsi le rôle mystérieux mais incontournable du silicium trouve ses explications par le biais de la physique quantique.

Il s'ensuit des effets biologiques multiples dont deux doivent être soulignés:

  • le silicium est nécessaire à la synthèse du collagènesans collagène la vie ne serait pas possible car c'est lui qui donne la forme et la structure des organes; il est fait de maillons d'hydroxyproline reliés par leurs groupements OH; or les groupements OH comme les mêmes pôles des aimants se repoussent et leur jonction se fait grâce au silicium. Sans silicium il ne peut y avoir de collagène.
  • Les mitochondries qui fournissent notre énergie et ont besoin de silicium pour fonctionner; ce mécanisme est vital, par exemple un taux élevé d'homocystéine est indicateur de problèmes cardiaques futurs et se retrouve en cas de dysfonctionnement de la fonction de méthylation des mitochondries. Par ailleurs les études statistiques faites en Scandinavie montrent que lorsque les eaux de boisson sont riches en silicium la fréquence des accidents cardiaques est deux fois plus basse.

 

L'homme consomme en moyenne 5 à 6mg de silicium par jour. Si l'alimentation ne les apporte pas, il puise alors dans les organes dont les plus riches sont par ordre, l'aorte, la peau, les articulations, le cerveau et les reins et dont la structure puis la fonction se dégradent progressivement.

Une supplémentation en silicium notamment à partir de la cinquantaine est fortement conseillée voir indispensable.

Pour autant toutes les formes de silicium ne sont pas adaptées et certaines aboutissent même à des effets inverses. Il faut donc bien se renseigner avant d'entreprendre cette démarche.

Le silicium provenant des plantes est la meilleure source de silicium absorbable. La prêle est la plante la plus riche en silicium. Mais elle présente des particularités d'utilisation qui nécessitent de bien se documenter avant d'entreprendre cette démarche notamment elle ne doit pas être mélangée à d'autres formes de silicium (silicates, acide orthosilicique, sels de silicium) ou à d'autres plantes.

                                                                                        Docteur Baccichetti

 

Voir le site www.lasantealaclef.com

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